Enfin, pour terminer ce joli mois d’avril (ah non, dans la chanson c'était le mois de mai, c’est vrai), impossible d’échapper à l’évènement « musical » de ces dernières semaines ...
Tant pis, on passe au plus important (euh, la musique !) ...
Enfin, pour terminer ce joli mois d’avril (ah non, dans la chanson c'était le mois de mai, c’est vrai), impossible d’échapper à l’évènement « musical » de ces dernières semaines ...
Tant pis, on passe au plus important (euh, la musique !) ...
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Dans un hospice, un jeune cascadeur allité se lie d’amitié avec une fillette désœuvrée à laquelle il raconte les histoires fantastiques de personnages extraordinaires ...
Si le résultat final (alternance de deux mondes, confrontation du réel et de l’imaginaire, esthétique très publicitaire, magnifiques costumes d’Eiko Ishioka ...), régulièrement présenté dans de nombreux festivals et lors d’une sortie exclusive en Russie, ne laisse pas les cinéphiles de marbre (on adore ou on déteste), force est de constater qu’il n’a pas encore réussi le tour de force de séduire les distributeurs français ... qui par ailleurs ne manquent pourtant pas de nous infliger de nombreux navets !
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Justicier sous le masque, traquant sans relâche les criminels auxquels il inflige toutes formes de punitions, The Spirit est un détective qui met en scène sa propre mort afin de combattre ...
Pour sa première réalisation en solitaire (il avait auparavant collaboré avec Robert Rodriguez sur le tournage de Sin City, l'adaptation de sa propre bande dessinée), le maître s’est octroyé les services d’une pléiade de stars : Samuel L. Jackson, Scarlett Johansson, Eva Mendès et Gabriel Macht (moins célèbre) dans le rôle titre.
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Aux Etats-Unis en 1925, le capitaine des Bulldogs, footballers professionnels lâchés par les sponsors, persuade une jeune star de la fac, héros de guerre et idole des foules, de rejoindre leur équipe.
Sauf que malgré toute l’énergie et la meilleure volonté du monde, Jeux de dupes (Leatherheads, "têtes de cuir" en version originale) s’essouffle vite.
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Grande star d’un battage médiatique savamment orchestré par une presse en manque d’évènements parisiens capables de porter les foules dans les salles dispendieuses de musées ...
C’est ce qui fait la qualité et le défaut de ce projet !
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Biologiste et photographe « sous-marin », Rob Stewart (non, pas Rod le blond chevelu, Rob !) est passionné par les requins, véritables Seigneurs des mers victimes d’éradication en masse ...
Personnellement, incapable de supporter plus de 15 minutes de diatribe auto-satisfaisante et carrément inquiétante (hum), un sommeil plus profond que l’océan lui-même s’est emparé de la pauvre victime (pourtant insomniaque) du très narcissique défenseur de squales que j’étais devenu ...
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... jusqu’à ce qu’enfin, réveillé par un bruit sourd lointain, de plus en plus régulier, fort et inquiétant car non identifiable, je décide de grimper sur le toit de ce magnifique immeuble newyorkais ...
Heureusement Hub, désigné cinéaste de cette incroyable soirée de célébration, n’en perd pas une miette et ... bon voilà, c’est (pour rigoler un peu, hum) le « presque » tout début du film catastrophe assez impressionnant de ce début d’année, Cloverfield.
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... sauf que, c’était sans compter sur l’intervention miraculeuse de Red Richard, Ben Grimm, Susan et Johnny Storm, alias les 4 fantastiques qui, à la poursuite de l’énigmatique surfeur d’argent ...
Toujours pas, vraiment pas au niveau des deux premières excellentes adaptations des aventures de Spiderman (le troisième n’étant pas indispensable), ni même capable de rivaliser avec la poésie des Superman époque Christopher Reeve, ce deuxième volet des aventures de nos quatre super-héros toujours aussi mollassons (mis à part ce tombeur de Chris Evans, plutôt sympa à regarder mais au jeu fort limité) surclasse quand même sans problème son prédécesseur, ne serait-ce que par des effets spéciaux plus coûteux (ça se voit) et plus nombreux (le costume de The Thing un poil trop plastique mais presque crédible et surtout un surfeur numérique ahurissant) ...
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... par Stéphane ! Eh oui, une fois n'est pas coutume, Rupert n'est pas l'auteur du post. Mais voilà, devant l'irrépressible éclat de rire qui s'est emparé de moi à la lecture de ce mail ...
Jusque là tout va bien sauf que des fois on me cache des panneaux essentiels (ceux des directions).
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Je m'appelle Louise Joséphine Bourgeois. Je suis née le 25 décembre 1911 à Paris. Tout mon travail des cinquante dernières années, tous les sujets, trouvent leur source dans mon enfance.
D’abord parce que cette vieille dame obsessionnelle n’a pas encore dit son dernier mot et qu’elle continue d'explorer, à 96 ans sonnés dans son atelier newyorkais, les méandres d’une enfance que rien n’épuise et qu’on imagine foncièrement riche (la profusion des thèmes récurrents et celle des matériaux, extrêmement variés) pour cette fille de restaurateurs de tapisseries anciennes, dont les motifs de la couture, du fil, de l'aiguille conditionnent une grande partie de l’œuvre pour aboutir à la figure maternelle, protectrice de la grande fileuse : l'araignée (voir le « petit modèle » en bronze à l’entrée du forum).
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... c’est une foultitude de publicités sous les formes les plus variées (films, affiches, etc ...), un bouillon de culture (!) soigneusement agencé, d’où émerge le meilleur de la création mondiale actuelle.
C’est surtout et avant tout une véritable bible, une encyclopédie extraordinaire de la publicité internationale, par rubrique ou en vrac (c’est selon ...), le site de référence qui montre et démontre que graphisme, esthétique, politique et marketing font parfois bon ménage.
Sans faire abstraction d’un mauvais goût parfois (malheureusement) nécessaire, parfois (heureusement) excessivement drôle, excessif et drôle, ou à des interprétations diverses pas toujours de bon aloie mais forcément inévitables (une véritable Tour de Babel du fond et de la forme) Ads of the World est une inépuisable source de plaisir (imagination ? rêve ? ...) et de réflexion pour qui s’intéresse à la communication dans le sens le plus large du terme.
Un coup de cafard ? Envie de rien ? ... alors peut-être qu’une petite balade ici ...
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Nouvelle parenthèse pop plutôt mitigée dans l’univers particulier de celui qui, de plus en plus, se démarque sans effort ni complexe du très moribond label « rock à la française ».
Si l’on accepte qu’il faille attendre le 4ème morceau (Hier à Sousse, pourtant pas si remarquable) pour commencer à trouver de l’intérêt à une galette qui s’affirme lentement au fil des plages sonores (Vénus l’emporte haut la main, Comme un lego est une réussite, …, Je tuerai la pianiste accroche carrément), que deux reprises sympathiques (Suzanne et Il voyage en solitaire ... sans comme mesure avec sa tragique et magnifique version des Mots bleus) semblent un peu vaines, convenues, alors on peut accorder à Bleu pétrole l’indulgence de ceux qui savent qu’une carrière s’écrit aussi au fil de rendez-vous manqués.
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Condamnée à être exécutée, sans plus aucun recourt, Marie Stuart cherche par tous les moyens à faire entendre une dernière fois sa voix auprès de sa cousine, Elisabeth 1ère.
Décors sobre et raffiné, costumes lourds, lumière tamisée, tout concourt pour que l’interprétation sans faille transgresse les limites d’un plateau qui se veut témoin de l'Histoire : l’une rebelle indomptable abandonnée des siens, résignée par la force des choses, l’autre puissante statue fragilisée par le jeu de masques morbides auquel elle ne peut se soustraire et qui la condamnera à sacrifier sa rivale de sang ... autour, dans l'ombre, les geôliers, alliés ou traites et autres conseillers, manipulateurs ou victimes consentantes d’un destin qui les lie irrémédiablement à leurs Maîtresses.
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Avec ce dernier album (sorti ces jours-ci sans trop grand renfort de pub - une première !), qui fait suite au relatif semi-échec « artistique » de son prédécesseur (ceci expliquant celà), Moby revient ...
Convoquant Grace Jones (Live for Tomorrow, très réussi) ou Donna Summer, l’univers des eighty’s (I’m in Love, Everyday It’s 1989 ... franchement pas essentiels), et un peu d’ambient (Degenerates, Sweet Apocalypse, ... ouais bof), la sauce de moins en moins digeste, malgré quelques incursions agréables en électro pop légère (I Love to Move in Here ou 257.zero, recyclage d’une idée déjà maintes fois exploitée, en particulier par Craig Armstrong) ne prend pas toujours.
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