Bruce Willis a pris un sacré coup de vieux ! C’est en tout cas la seule pensée qui nous traverse l’esprit lorsque apparaît ce vieux briscard de Lieutenant McClane sur l’écran géant de la salle hightech destinée à projeter les blockbusters de l’été, ceux qui nous ont été tout spécialement réservés afin de reposer considérablement nos neurones échauffés par tant de dur labeur hivernal, ceux susceptibles de nous attirer coûte que coûte dans les multiplexes obscures de nos villes assaillies par la chaleur estivale (euh ... blague à part, quel temps de merde, j'vous'jure).image
Bref, si McClane semble un peu moins dans le coup pendant les toutes premières minutes de cet affligeant navet (oui, aujourd’hui j’ai décidé de me laisser aller – ça dure quand même 2h20, alors faut bien que je me défoule un peu) qu’est Die Hard 4.0 (le navet donc !) rassurez-vous ça ne dure pas puisque très vite notre flic new yorkais préféré n’a plus une seconde à lui : ça pétarade dans tous les sens, ça court partout, ça flingue à tout va, ça explose toutes les trois minutes … euh, une chose est certaine, les neurones se reposent. Enfin ... ça c’est ce que vous pensez en lisant ces quelques lignes, mais voilà, pas du tout !image 
Car si le scénario est (à peine) un prétexte pour enchaîner les morceaux de bravoures les plus cons et les plus invraisemblables de la série, il est (exploit incroyable) aussi simple qu’irracontable : une obscure histoire de vengeance où les Etats-Unis d’Amérique se retrouvent une fois de plus pris en otage par des hackers aussi violents et dénués de scrupules que crétins.
Car si le scénario est (à peine) un prétexte pour enchaîner les morceaux de bravoures les plus cons et les plus invraisemblables de la série, il est (exploit incroyable) aussi simple qu’irracontable : une obscure histoire de vengeance où les Etats-Unis d’Amérique se retrouvent une fois de plus pris en otage par des hackers aussi violents et dénués de scrupules que crétins.image 
Résultat ?! Une fois toute cette baston terminée, on se fout comme une guigne de savoir comment l’intrigue « de fond » (oui, oui, je sais, je suis en forme) sera véritablement résolue puisque malgré une multitudes de blessures capables d'envoyer n'importe quel rhino à l'hosto, trois hélicos défoncés, une centaine de bagnoles détruites, un énorme truck disloqué, un avion de chasse explosé et quelques villes détruites plus tard, la seule chose qui intéresse encore tout ce « beau » monde (bah … il est finalement pas si mal que ça le Bruce, vu son âge) c’est de savoir si Miss McClane pardonnera à son papa chéri d’être le SAUVEUR du monde ! … Pfffffffff …
Résultat ?! Une fois toute cette baston terminée, on se fout comme une guigne de savoir comment l’intrigue « de fond » (oui, oui, je sais, je suis en forme) sera véritablement résolue puisque malgré une multitudes de blessures capables d'envoyer n'importe quel rhino à l'hosto, trois hélicos défoncés, une centaine de bagnoles détruites, un énorme truck disloqué, un avion de chasse explosé et quelques villes détruites plus tard, la seule chose qui intéresse encore tout ce « beau » monde (bah … il est finalement pas si mal que ça le Bruce, vu son âge) c’est de savoir si Miss McClane pardonnera à son papa chéri d’être le SAUVEUR du monde ! … Pfffffffff …image 
Très bientôt les critiques de Transformers et Fantastic Four : Rise of Silver Surfer … Quoi Schreck ? Bon, d’accord, c’était mieux … là, au moins, on pouvait dormir …
Très bientôt les critiques de Transformers et Fantastic Four : Rise of Silver Surfer … Quoi Schreck ? Bon, d’accord, c’était mieux … là, au moins, on pouvait dormir …image
3 commentaires:
c'est vrai. pas le meilleur malheureusement.
bah ça alors, j'ai disparu de ton blog !!!!! oups surprise surprise !!!
réapparition, c'est magique.
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