lundi 6 avril 2009

DUPLICITY

L’histoire un peu « complexifiée » de deux ex-agents de la CIA et du MI6, qui se tirent la bourre dans le milieu de l’espionnage industriel.
Le début est assez alambiqué pour qu’on se demande si passer plus de deux heures en leur compagnie est une bonne idée, mais rapidement le charme des acteurs opère et la construction du film (un enchainement de flashbacks parfois répétitifs) prend tout son sens.
S’il faut reconnaître à Tony Gilroy, dont c’est ici la seconde réalisation après Michael Clayton, une certaine aisance dans la direction d’acteur et un raffinement qui sied parfaitement à l’atmosphère du film, on ne peut s’empêcher de regretter un manque d’originalité qui donne à l’ensemble, en particulier dans sa deuxième partie, l’allure d’une bonne série B.
Cumulant plus ou moins adroitement les clichés afférents aux codes du genre, Duplicity laisse ce petit goût amer qu'ont les grands rendez-vous un peu décevants, sans être pour autant désagréables.

Alors bien sûr, on se raccroche au charisme et à la beauté indéniable des deux stars (quarantenaires et, croyez-moi, ça fait un bien fou !!!) : l’incomparable sourire de Julia Roberts vaut à lui seul le prix d’une place de cinéma, quant à Clive Owen, est-ce bien la peine de préciser qu’il représente à lui seul l’archétype de la virilité et de la séduction masculine dans le cinéma hollywoodien actuel (une vraie bombe).
Tant qu’y a du plaisir …

4 commentaires:

Altarande a dit…

Forcément Julia Roberts...

rupert a dit…

... hihihi ça c'est un commentaire inspiré, n'est-ce pas Altie ?! Biz

Altarande a dit…

Ouais, en même temps Duplicity ;-) ;-) hihihihihi

rupert a dit…

exact exact !!!!! bon mais j'ai encore des posts ciné et bouquins à venir, simplement le boulot et un déménagement imminent m'occupent bcp bcp bcp ...