lundi 22 février 2010

SHERLOCK HOLMES

Beaucoup de sorties en février, mais pas beaucoup de chefs-d’œuvre … c’est le moins qu’on puisse dire.
Mais, que devait-on sincèrement attendre de la version, re-boostée à la testostérone, du flegmatique héros de Sir Arthur Conan Doyle par Guy Ritchie, ex de Madonna et éventuellement « réalisateur » de son état ?
Rien d’extraordinaire si l’on en croît cette succession de pitreries matinées de cascades qu’un casting pour le moins étonnant dans le mauvais sens du terme, et l’absence totale de scénario ne contribuent pas à améliorer.
Censé interpréter le flegmatique Sherlock Holmes, Robert Downey Jr ne fait même pas semblant d’être concerné, quant à son camarade Jude Law (dont le talent s’est amoindri au fur et à mesure que sa belle gueule s’est répandue dans les magazines de mode) il campe un Docteur Watson de bien piètre acabit.

De toute façon, on comprend vite qu’on n’est là que pour la baston et les explosions dans le vacarme, assourdissant, du navet foireux qu’une bande-annonce peu mensongère laissait déjà soupçonner. Bien fait !

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