Le Guggenheim New York présente depuis février, et ce jusqu’à fin mai, de magnifiques installations de la star chinoise de l’art contemporain, dans le cadre d’une rétrospective spectaculaire.
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Remplir la magnifique rotonde conçue par Frank Lloyd Wright de 9 voitures « explosives » suspendues dans les airs, gravir la rampe en colimaçon que se partagent une meute de 99 loups volants venant s’écraser contre un mur de verre, une multitude de tigres transpercés de centaines de flèches, de troublantes statues d’argile éphémères, le tout entrecoupé de quantité de films et de dessins illustrant pour la plupart des performances in situ, références récurrentes à un monde imaginaire peuplé d’extra-terrestres, Cai Guo Qiang (Lion d'or de la biennale de Venise en 1999) et son hôte ne lésinent pas sur les moyens (80 œuvres environs) pour impressionner le visiteur même le moins averti.
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Remplir la magnifique rotonde conçue par Frank Lloyd Wright de 9 voitures « explosives » suspendues dans les airs, gravir la rampe en colimaçon que se partagent une meute de 99 loups volants venant s’écraser contre un mur de verre, une multitude de tigres transpercés de centaines de flèches, de troublantes statues d’argile éphémères, le tout entrecoupé de quantité de films et de dessins illustrant pour la plupart des performances in situ, références récurrentes à un monde imaginaire peuplé d’extra-terrestres, Cai Guo Qiang (Lion d'or de la biennale de Venise en 1999) et son hôte ne lésinent pas sur les moyens (80 œuvres environs) pour impressionner le visiteur même le moins averti.
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Ambitieuse, l’exposition I Want To Believe (une première du genre pour cet artiste de 51 ans) l’est dans tous les sens du terme : aussi belles que politiquement engagées (en plein cœur de la polémique autour des Jeux Olympiques, pour lesquels ce magicien de la poudre à canon signera les effets spéciaux de la cérémonie d’ouverture, la volonté des programmateurs du Guggenheim de coller au plus près de l’actualité paraissant plus que clairement affirmée), les œuvres de Guo Qiang montrent toutes les « contradictions qui apparaissent entre la violence et la beauté », c'est en tout cas le propos qu'il tend à illustrer.
Indiscutablement l’exposition de l’année …
Indiscutablement l’exposition de l’année …